On ne saurait embrasser l’image évanescente qui naît dans le noir profond d’un espace mental, avec ce qu’il y a d’inquiétudes, de musiques tournoyantes aux contours des parois de la boîte crânienne, de phrases qui se répètent, de vagabondages et d’obsessions. Et il est un fait, c’est qu’on ne saurait, non plus, en sortir… de là l’hypnose…
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